• À lire aussi : Face au Parlement pour la première fois, le roi Charles III “sent le poids de l’histoire” • Lire aussi : Mort de Queen’s : les jeunes et les migrants de Londres ont d’autres soucis • Lisez aussi: L’hommage du prince Harry à Elizabeth II, “boussole” au “sourire contagieux” Dépouillé à jamais de son rôle royal après des allégations d’agression sexuelle réglées par un règlement de plusieurs millions de dollars, Andrew, 62 ans, est souvent décrit comme le “fils bien-aimé” de la reine Elizabeth II, décédée jeudi à l’âge de 96 ans. Cependant, en tant que membre non actif de la famille royale, elle ne portera pas d’uniforme militaire pour les cinq cérémonies prévues pour honorer le monarque à Édimbourg, Londres et Windsor. Une exception sera toutefois faite pour la veillée au Parlement britannique, où le cercueil de la reine sera exposé de mercredi après-midi à lundi matin, selon des sources citées par l’AP. Ancien pilote d’hélicoptère, le prince a participé à la guerre des Malouines en 1982 et devait, avant sa retraite, recevoir le grade honorifique d’amiral à l’occasion de son 60e anniversaire. Déjà en juin, le prince Andrew, atteint du COVID-19, était absent des célébrations des 70 ans du règne d’Elizabeth II. Mais avant même qu’il ne soit testé positif, la reine avait fait savoir qu’il ne serait pas autorisé à rejoindre la famille royale sur le balcon de Buckingham pour saluer la foule de toute façon, cet honneur ne revenant qu’aux membres de la famille. leurs enfants. En mars dernier, l’apparition du prince Andrew aux mains du souverain à l’abbaye de Westminster, pour le service commémoratif du prince Philip, son mari décédé l’an dernier, n’avait pas été bien accueillie par une partie du public britannique. En 2021, pour les funérailles du prince Philip, le monarque avait décidé que toute la famille se rendrait aux funérailles en civil, ce qui avait permis d’éviter une décision sur le droit de Harry et Andrew à porter l’uniforme.