• À lire aussi : Le chef du PQ dénonce la diffamation de son candidat qui a fait un film ‘réplique’ • À lire aussi : Décès de la reine : Paul St-Pierre Plamondon s’oppose à la descente du drapeau Le commentaire de Paul St-Pierre Plamondon, publié sur Twitter quelques heures après l’annonce de la mort de la reine, a également instruit le premier ministre, François Legault, de ne pas traiter “la reine d’Angleterre comme le chef de l’État du Québec ni de donner de la crédibilité à un Britannique illégal”. . régime colonial au Québec ». «Je conviens que j’ai eu une réaction très spontanée et que j’ai choisi le mauvais moment, mais dans ma tête, à l’époque, je m’adressais au gouvernement du Québec», a-t-il déclaré vendredi à Montréal, en marge d’une annonce sur le délabrement écoles. . Si cela a offensé les gens, ce n’était pas mon intention. Il rappelle que sa première déclaration hier était d’exprimer ses condoléances à la famille royale et au peuple anglais. Il ajoute qu’un débat sur l’institution qu’est la Couronne britannique devrait avoir lieu pendant la campagne électorale, mais pas aujourd’hui. “Entendons-nous qu’aujourd’hui, nous n’allons pas parler de cela”, a-t-il déclaré. Cependant, il a précisé que son opinion sur la question n’avait pas changé. “Moi, je n’aurais pas pris la décision prise par François Legault et le gouvernement du Québec. Si je’[avais été] APRÈS MIDI [premier ministre]bien sûr j’aurais envoyé quelqu’un à l’enterrement […]mais je n’aurais pas baissé le drapeau. Le drapeau sur la tour principale de l’Assemblée nationale a été abaissé cette année pour les décès des joueurs de hockey Mike Bossy et Guy Lafleur ainsi que pour la Journée nationale du souvenir en mémoire des victimes de la COVID-19. Cela s’est également produit avec la mort de chefs d’État étrangers, comme celle de l’ancien président de la République française, Jacques Chirac, en 2019, ou de l’ancien premier ministre du Canada, John Turner, en 2020. Interrogé par un journaliste au sujet de Bernard Landry, l’ancien premier ministre péquiste, qui avait fait tomber le drapeau sur la mort de la reine et de la sœur de la reine en 2002, il a répondu : « Je n’ai jamais discuté avec Bernard Landry du raisonnement derrière sa démarche ».